CE 25 AOÛT ,
PRIORITE à Jean JOURLIN , et à ses COPAINS
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Jean JOURLIN
était aux premières loges
lors des combats
pour libérer la Préfecture de Paris .
De la police parisienne sous l'Occupation, on ne retient que les heures noires, les basses oeuvres accomplies au service de l'État français, alors auxiliaire de l'Occupant : arrestation des résistants, traque des Juifs avec comme paroxysme la Rafle du Vel d'Hiv de juillet 1942. Inspiré des longues et minutieuses recherches du contrôleur général Luc Rudolph, ancien directeur de la préfecture de police, dans les archives de la Résistance, ce document révèle l'engagement méconnu de centaines de policiers parisiens dans la Résistance et leur contribution décisive à la Libération de Paris. Renseignement, enquêtes bâclées, fourniture de faux papiers, mauvaise volonté à exécuter les tâches, sabotage d'usines occupées par les Allemands, évasion de prisonniers..., des plus héroïques aux plus modestes, c'est toute une gamme d'actes d'insubordination qui émerge, menée dans la clandestinité imposée par l'étroite surveillance de l'Occupant et de la hiérarchie policière. C'est ce rôle crucial des policiers parisiens dans la Résistance et la Libération de Paris que ce numéro de Liaisons souhaite
mettre à l'honneur.
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Pour autant, le rôle moteur de la police dans la libération de Paris est indéniable. Le 19 août 1944, au lendemain d'une réunion entre les trois mouvements de résistance au sein de la police, près de 3.000 policiers en civil, en grève depuis quatre jours, se positionnent devant la caserne de la Cité vers 6h00 du matin.
Ils investissent les lieux après avoir négocié avec les gendarmes mobiles qui occupent la préfecture depuis le 15 août, séquestrent le préfet de police et hissent le drapeau français.
"Les policiers ont pris tout le monde de vitesse, y compris le Comité de Libération de Paris, qui a dû s'adapter", assure l'historien Jean-Marc Berlière, auteur notamment de +Policiers français sous l'Occupation+.
Pendant une semaine, des combats acharnés contre les Allemands dans la capitale vont coûter la vie à 167 policiers. Une des salles de réception de la préfecture de police (PP) a été baptisée +salle des 167+ en leur mémoire
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Jean JOURLIN......champion d ' Europe
de lutte libre en 1933
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1955
Claude Montourcy , Karl Von Chenok , Gilbert Leduc
et Monsieur l ' arbitre Jean Jourlin
1944...........c ' était hier....
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Jean JOURLIN
LUTTEUR -- FLIC ,
chef de file
de Max Dubel , Jack Van Doreen , René Rousselin
Gilbert Wehrle ,
qui tous , auront porté l ' uniforme
avant de ne faire de très belles carrières
de lutteur amateur et professionnel .
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Comme d ' autres lutteurs le feront
chez les
Sapeurs Pompiers de Paris .
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1957 / 1959
Mess de la Préfecture de Police ,
au pied gauche de Notre Dame .
Une grande table , autour de laquelle
sont installés
Jacques Pécheur ( Spartacus ) Bruno Asquini , et sa belle tenue de Pompier de Paris ,
le narrateur de service ,
Maurice Durand , et son beau père .
Monsieur Jean Jourlin .
Y ' avait juste à écouter défiler ,
les souvenirs de lutteur ( ex--champion d ' Europe )
et surtout , ceux , ne datant que
d ' une douzaine de '' piges ''
de ces journées fabuleuses
de la libération de Paris .
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Gilbert Wehrle
'' Flic '' et lutteur
Jourlin a fait des petits....................
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VOIR
également Jean JOURLIN
sur l ' excellent blog
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