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Après avoir rencontrés
Gilbert CESCA à Lorient ,
Jacky CORN au Balajo ,
Jean MAHIEU dans la vallée de Chevreuse ,
Michel ALLARY et Jack ROUXEL à Aiguebelle ,
au Restaurant '' Beau Soleil ''
Michel SAULNIER à Château -- Thierry ,
Gilbert WEHRLE au Kremlin--Bicêtre ,
Jo GUERET à Orly ,
Jack DE LASSARTESSE et le Prince KUMALI
à Londres ,
ainsi qu ' une grande partie des
Lutteurs Professionnels encore en vie ,
au mois de juin , à Saint Germain
lors leur banquet annuel ,
le réalisateur , Habib CHAMS ,
en contact permanent avec ALPRA
est venu compléter sa collecte de témoignages
lui permettant de faire un long métrage
sur la Lutte Professionnelle des '' 30 glorieuses ''
largement commentée sur ce blog ,
par ceux qui l ' ont vécue .
La majorité d ' entre eux ayant usés leurs fonds de culotte
dans les salles de la FF Lutte .
Par le plus grand des hasards ,
se retrouveront sur les courts de tennis Lavandourain ,
René DONNIO
Lutteur , entraîneur , Président ,
ainsi que
Dan AUBRIOT et Bob PLANTIN .
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En gestation depuis plusieurs années à Paris ,
A L P R A
sera officialisé au T C L .
L ' A I L
créé par Georges BALLERY ,
lutteur de père en fils ,
répondra à l ' invitation de René .
Georges Ballery
est membre d ' honneur d ' Alpra .
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FLASH BACK
Henri DEGLANE
Champion Olympique de lutte
au JO de Paris en 1924 ,
part aux Etats Unis
avec Raoul PAOLI ,
Afin de permettre aux lutteurs Français
de vivre de leur sport ,
avant que ne soit créé ,
le statut de sportif de haut niveau
( Personne n ' a oublié que
Jules Ladoumègue
fût disqualifié
pour une poignée...... )
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Dés 1945 / 1950 ,
la F F L P
Fédération Française de Lutte Professionnelle ,
antenne de la
Fédération française de Lutte
permettra à un grand nombre de sportifs ,
toutes disciplines confondues ,
Lutte , Haltérophilie , Judo , Boxe , Force Athlétique ,
de vivre correctement ,
et a quelques organisateurs compétents
d ' organiser des matchs .
Par la suite ,
le statut de sportif de haut niveau , permettra aux meilleurs
de se diriger vers des postes d ' entraîneurs en particulier .
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Charles KOUYOS et Guy ROBIN
seront au service de la lutte
pendant des années .
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André ZOETE
fera vivre et évoluer
la lutte
à Clermont -- Ferrand
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Dans les années 70 la technique a évolué , la télévision également , permettant de montrer des rencontres de foot , de l ' athlétisme , du cyclisme , etc...... en suscitant de nouvelles vocations .
Dans le même temps , les poils dans la main ont poussés , les d ' jeunes lutteurs doués , ont été pris en charge par la fédé....et la lutte professionnelle a disparu....de sa belle mort , faute de combattants......
Ps . J ' ai choisi pour une fois , la première personne du singulier , car cette analyse n ' engage que moi , mais reste partagée par beaucoup de mes copains . Bob Plantin
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Jean RABUT contre l ' Espagnol COSTELLA
de l ' école Valencia , de Modesto ALEDO ,
illustre parfaitement
la '' belle '' lutte Professionnelle .
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Jules Ladoumègue
Bordeaux, 10 décembre 1906 – Boulogne, 3 mars 1973
Meeting à Jean Bouin, 1930
Miroir des sports
© Presses - sports L'Equipe
Miroir des sports
© Presses - sports L'Equipe
Recordman du monde et héros populaire, Jules Ladoumègue est aussi le symbole de la lutte entre amateurs et professionnels qui déchire les milieux sportifs de l’entre-deux-guerres.
Né dans un milieu très modeste de la banlieue bordelaise, Jules Ladoumègue ne connaît ni son père, mort accidentellement quatre mois avant sa naissance, ni sa mère, décédée tout aussi tragiquement alors qu’il n’est âgé que de 17 jours. Dans l’immédiat après-guerre, il découvre le sport dans un patronage et remporte ses premières courses en athlétisme. Après plusieurs saisons à Bordeaux entre 1921 et 1925, il rejoint à Paris le meilleur club du moment, le Stade Français, avant de passer au Club athlétique des sports généraux. Il multiplie alors les victoires, devient international en 1926, bat son premier record de France sur 1500 mètres en 1928 et participe aux jeux Olympiques d’Amsterdam la même année où il empoche une médaille d’argent, faisant oublier le défunt Jean Bouin.
Commence alors une éblouissante série de performances, avec six records du monde battus entre octobre 1930 et octobre 1931. Ces succès sportifs, à un moment où se constitue le culte du champion exemplaire et où les grandes compétitions s’imposent comme un spectacle apprécié, font de Ladoumègue un héros d’autant plus populaire que sa trajectoire est placée sous le sceau de la méritocratie. Sa vie et ses prouesses sont d’ailleurs largement commentées dans la presse. Mais le contexte est aussi celui de la crispation des instances sportives sur les valeurs de l’amateurisme sur fond de naissance du football professionnel. Malgré la défense d’un Jean Giraudoux, malgré aussi son exceptionnelle popularité, Ladoumègue est accusé en 1931 par les dirigeants de la Fédération française d’athlétisme (FFA) d’avoir réclamé de l’argent pour courir. Il est finalement disqualifié le 4 mars 1932 pour professionnalisme dans ce que la presse qualifie alors d’« affaire Ladoumègue ». Ni les demandes officielles du ministre Ernest Lafont, ni le soutien de célébrités, ni la course-exhibition triomphale organisée par Paris-Match en son honneur en novembre 1935 ne lui permettent d’être réhabilité avant 1943. Toutefois, les talents sportifs de Ladoumègue autant que le sentiment d’injustice inspiré par sa disqualification auront créé une mobilisation collective durable et un fort sentiment d’identification faisant du coureur bien davantage qu’un simple champion
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Né dans un milieu très modeste de la banlieue bordelaise, Jules Ladoumègue ne connaît ni son père, mort accidentellement quatre mois avant sa naissance, ni sa mère, décédée tout aussi tragiquement alors qu’il n’est âgé que de 17 jours. Dans l’immédiat après-guerre, il découvre le sport dans un patronage et remporte ses premières courses en athlétisme. Après plusieurs saisons à Bordeaux entre 1921 et 1925, il rejoint à Paris le meilleur club du moment, le Stade Français, avant de passer au Club athlétique des sports généraux. Il multiplie alors les victoires, devient international en 1926, bat son premier record de France sur 1500 mètres en 1928 et participe aux jeux Olympiques d’Amsterdam la même année où il empoche une médaille d’argent, faisant oublier le défunt Jean Bouin.
Commence alors une éblouissante série de performances, avec six records du monde battus entre octobre 1930 et octobre 1931. Ces succès sportifs, à un moment où se constitue le culte du champion exemplaire et où les grandes compétitions s’imposent comme un spectacle apprécié, font de Ladoumègue un héros d’autant plus populaire que sa trajectoire est placée sous le sceau de la méritocratie. Sa vie et ses prouesses sont d’ailleurs largement commentées dans la presse. Mais le contexte est aussi celui de la crispation des instances sportives sur les valeurs de l’amateurisme sur fond de naissance du football professionnel. Malgré la défense d’un Jean Giraudoux, malgré aussi son exceptionnelle popularité, Ladoumègue est accusé en 1931 par les dirigeants de la Fédération française d’athlétisme (FFA) d’avoir réclamé de l’argent pour courir. Il est finalement disqualifié le 4 mars 1932 pour professionnalisme dans ce que la presse qualifie alors d’« affaire Ladoumègue ». Ni les demandes officielles du ministre Ernest Lafont, ni le soutien de célébrités, ni la course-exhibition triomphale organisée par Paris-Match en son honneur en novembre 1935 ne lui permettent d’être réhabilité avant 1943. Toutefois, les talents sportifs de Ladoumègue autant que le sentiment d’injustice inspiré par sa disqualification auront créé une mobilisation collective durable et un fort sentiment d’identification faisant du coureur bien davantage qu’un simple champion
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Les frères MANSOUR
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On retrouve les meilleurs lutteurs Français
chez nos amis Libanais .
Ici , on reconnaitra
Albert Lafeuille , Jules Delmé , César Colavecchi .
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1958 / 1959
En ce temps là les clubs de lutte ,
comme ici à Pontarlier / Besançon
disputaient des rencontres Internationales ,
avant les matchs de Lutte Professionnelle ,
démontrant ainsi la belle harmonie régnant
avec la FFL ,
qui , il faut le rappeler ,
percevait des royalties ,
permettant aux Internationaux
de représenter la France en Europe .
Merci Michel .
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Jean Claude Marguet
en remet une petite couche..............
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Coureurs et Lutteurs...........même combat .
C ' est beau une médaille ,
mais on casse la croûte comment............
Bon , ça s ' est un peu arrangé....en 80 '' piges ''
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