30 PIGES de LUTTE '' PRO ''

vendredi 22 août 2014

L A V A N D O U , LIBAN ...... au rendez vous

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Après  avoir  rencontrés
Gilbert  CESCA   à  Lorient  ,
Jacky  CORN  au  Balajo  ,
Jean  MAHIEU  dans la  vallée  de  Chevreuse   ,
Michel  ALLARY  et  Jack  ROUXEL  à  Aiguebelle  ,
au  Restaurant  ''  Beau  Soleil  ''
Michel  SAULNIER  à  Château --  Thierry  ,
Gilbert  WEHRLE  au  Kremlin--Bicêtre  ,
Jo  GUERET   à   Orly  ,
Jack  DE   LASSARTESSE  et  le  Prince  KUMALI
à  Londres  ,
ainsi  qu ' une  grande  partie  des 
Lutteurs  Professionnels  encore  en  vie  ,
au  mois  de  juin  , à  Saint  Germain 
lors  leur  banquet  annuel  ,
le  réalisateur  ,  Habib  CHAMS  ,
en  contact  permanent  avec   ALPRA
est  venu  compléter  sa  collecte  de  témoignages
lui  permettant  de  faire  un  long  métrage
sur  la  Lutte  Professionnelle  des  ''   30  glorieuses  ''
largement  commentée  sur  ce  blog ,
par  ceux  qui  l ' ont  vécue  .
 
La  majorité  d ' entre  eux  ayant  usés  leurs  fonds  de  culotte 
dans  les  salles  de  la   FF  Lutte .
 
 
Par  le  plus  grand  des  hasards  ,
se  retrouveront  sur  les  courts  de  tennis  Lavandourain  ,
René  DONNIO
Lutteur  ,  entraîneur  ,  Président  ,
ainsi  que 
Dan  AUBRIOT  et  Bob  PLANTIN  .
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En  gestation  depuis  plusieurs  années  à  Paris  ,
A L P R A
sera  officialisé  au   T C L   .
L '  A I L
créé  par  Georges  BALLERY ,
lutteur  de  père en  fils  ,
répondra  à  l ' invitation  de  René  .
 
Georges  Ballery 
est  membre  d ' honneur  d ' Alpra  .
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FLASH   BACK
 
 
Henri  DEGLANE
Champion  Olympique  de  lutte
au  JO  de  Paris  en  1924 ,
part  aux  Etats  Unis
avec  Raoul  PAOLI  ,
Afin  de   permettre  aux  lutteurs  Français
de  vivre  de  leur  sport ,
avant  que  ne  soit  créé ,
le  statut   de  sportif  de  haut  niveau
(  Personne  n ' a  oublié  que
Jules  Ladoumègue
fût  disqualifié
pour  une  poignée......  )
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Dés  1945  /  1950  ,
la  F F L P
Fédération  Française  de  Lutte  Professionnelle ,
antenne  de  la
Fédération  française  de  Lutte
permettra  à  un  grand  nombre  de  sportifs  ,
toutes  disciplines  confondues  ,
Lutte  ,  Haltérophilie  ,  Judo  ,  Boxe  ,  Force  Athlétique  ,
de  vivre  correctement  ,
et  a  quelques  organisateurs  compétents 
d ' organiser  des  matchs  .
Par  la  suite  ,
le  statut  de  sportif  de  haut  niveau  ,  permettra  aux  meilleurs
de  se  diriger  vers  des  postes  d ' entraîneurs  en  particulier  .
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Charles  KOUYOS  et   Guy  ROBIN
seront  au  service  de  la  lutte
pendant  des  années  .
 
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André  ZOETE
fera vivre  et  évoluer
la  lutte 
à  Clermont  --  Ferrand
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> Conclusion  .  Pourquoi  a   t ' on  disparus  .  Pendant   et   après  la  guerre , les  Ventura   et   Deglane   avaient           les  ''  crocs  ''  pour  s ' entraîner  dur  .  Ma  génération  s ' est  mise  au  diapason , en  particulier  avec  l ' arrivée    de  la  télévision  ,  dans  une  France  ou  sur  le  petit  écran   il  n ' y  avait  que  nous.....Maigret  ,  et  les  ''  infos  ''
 Dans  les  années  70  la  technique  a  évolué  ,  la  télévision  également  ,  permettant  de  montrer  des  rencontres    de  foot  , de  l ' athlétisme  ,  du   cyclisme  ,   etc......  en  suscitant  de  nouvelles  vocations  .
 Dans  le   même   temps ,  les   poils  dans  la   main  ont   poussés ,  les   d ' jeunes  lutteurs  doués ,  ont  été  pris en  charge  par la  fédé....et  la  lutte  professionnelle  a  disparu....de  sa  belle  mort  ,  faute  de  combattants......
Ps .  J ' ai  choisi   pour  une  fois  ,  la   première   personne  du   singulier  ,  car  cette  analyse  n ' engage  que  moi  ,  mais  reste  partagée  par  beaucoup  de  mes   copains  .   Bob  Plantin 

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Jean  RABUT  contre  l ' Espagnol  COSTELLA
de  l ' école   Valencia  ,  de  Modesto  ALEDO ,
illustre  parfaitement
la  ''  belle  ''  lutte  Professionnelle  .
 
 
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                        Jules Ladoumègue
                                      Bordeaux, 10 décembre 1906 – Boulogne, 3 mars 1973
                
Meeting à Jean Bouin, 1930
Miroir des sports
©  Presses - sports L'Equipe

Recordman du monde et héros populaire, Jules Ladoumègue est aussi le symbole de la lutte entre amateurs et professionnels qui déchire les milieux sportifs de l’entre-deux-guerres.

Né dans un milieu très modeste de la banlieue bordelaise, Jules Ladoumègue ne connaît ni son père, mort accidentellement quatre mois avant sa naissance, ni sa mère, décédée tout aussi tragiquement alors qu’il n’est âgé que de 17 jours. Dans l’immédiat après-guerre, il découvre le sport dans un patronage et remporte ses premières courses en athlétisme. Après plusieurs saisons à Bordeaux entre 1921 et 1925, il rejoint à Paris le meilleur club du moment, le Stade Français, avant de passer au Club athlétique des sports généraux. Il multiplie alors les victoires, devient international en 1926, bat son premier record de France sur 1500 mètres en 1928 et participe aux jeux Olympiques d’Amsterdam la même année où il empoche une médaille d’argent, faisant oublier le défunt Jean Bouin.

Commence alors une éblouissante série de performances, avec six records du monde battus entre octobre 1930 et octobre 1931. Ces succès sportifs, à un moment où se constitue le culte du champion exemplaire et où les grandes compétitions s’imposent comme un spectacle apprécié, font de Ladoumègue un héros d’autant plus populaire que sa trajectoire est placée sous le sceau de la méritocratie. Sa vie et ses prouesses sont d’ailleurs largement commentées dans la presse. Mais le contexte est aussi celui de la crispation des instances sportives sur les valeurs de l’amateurisme sur fond de naissance du football professionnel. Malgré la défense d’un Jean Giraudoux, malgré aussi son exceptionnelle popularité, Ladoumègue est accusé en 1931 par les dirigeants de la Fédération française d’athlétisme (FFA) d’avoir réclamé de l’argent pour courir. Il est finalement disqualifié le 4 mars 1932 pour professionnalisme dans ce que la presse qualifie alors d’« affaire Ladoumègue ». Ni les demandes officielles du ministre Ernest Lafont, ni le soutien de célébrités, ni la course-exhibition triomphale organisée par Paris-Match en son honneur en novembre 1935 ne lui permettent d’être réhabilité avant 1943. Toutefois, les talents sportifs de Ladoumègue autant que le sentiment d’injustice inspiré par sa disqualification auront créé une mobilisation collective durable et un fort sentiment d’identification faisant du coureur bien davantage qu’un simple champion

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Les  frères   MANSOUR
 
 
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On  retrouve  les  meilleurs  lutteurs  Français
chez  nos  amis Libanais  .
Ici  ,  on  reconnaitra
Albert  Lafeuille  ,  Jules  Delmé  ,  César  Colavecchi  .
 
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1958   /   1959 
En  ce  temps  là  les  clubs  de  lutte  ,
comme  ici  à  Pontarlier  /  Besançon
 disputaient  des  rencontres  Internationales  ,
avant  les  matchs de  Lutte  Professionnelle ,
démontrant  ainsi  la  belle  harmonie  régnant
avec  la  FFL  ,
qui  ,  il  faut  le  rappeler  ,
percevait  des  royalties  ,
permettant  aux  Internationaux
de  représenter  la  France en  Europe  .
Merci  Michel  .
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Jean  Claude  Marguet
en  remet  une  petite  couche..............
 
 
 
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Coureurs  et  Lutteurs...........même  combat  .
 
C ' est  beau  une  médaille  ,
mais  on  casse  la  croûte  comment............
 
Bon  ,  ça  s ' est  un  peu  arrangé....en   80  ''  piges  ''
 
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