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Mimile Stains


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EMILE GUILLOTON

Emile GUILLOTON… Lutteur en béton
(à gauche sur la photo)

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D’ailleurs Mimi est passé également chez Mimile. Avant de devenir l’acteur-cascadeur de renom que l’on connait bien dans le cinéma à « papa », je veux parler bien sûr de Michel Berreur dont mon père voulait en faire un célèbre catcheur sous le nom du « Petit prince », rôle qui finalement a été attribué à Daniel Dubail car M. Berreur n’a pas résisté à l’appel du septième art, et cela lui a plutôt bien réussi…
Après-midi cinéma avec Michel Berreur, comédien cascadeur
Samedi 18 mars 2017 de 16h à 18h
Vous ne le savez peut-être pas, mais Michel Berreur a nécessairement joué dans un film que vous avez vu. Sa filmographie qui commence au début des années 60 et se poursuit jusqu’aujourd’hui est émaillée de films devenus des classiques du cinéma français (Peur sur la ville, le Professionnel…) ou étranger (Moonraker, French Connection…) Qu’il donne la réplique à Jean-Paul Belmondo ou règle une de ses cascades, Michel Berreur accompagnera de façon significative la carrière des plus grands noms du cinéma.
Avançons quelques chiffres pour 50 ans de métier : plus de 70 films, plus de 30 téléfilms et séries.
C’est donc de cinéma que viendra nous entretenir Michel Berreur, du métier de comédien, et bien sûr de celui de cascadeur. Une projection de nombreux extraits de ses films permettra de se replonger avec plaisir dans ces beaux moments qui, pour nombre d’entre eux, font partie d’une mémoire collective et de toute une culture cinématographique. Autant de scènes qui seront commentées en direct par leur protagoniste. En perspective : secrets et anecdotes de tournages et, surtout, l’opportunité de discuter, de poser des questions, de mieux savoir enfin comment le cinéma se fabrique, avec quelle précision de danseur on réalise une cascade.
Renseignements : 01 46 76 69 00
Médiathèque des Quais
36 quai des Carrières
94220 Charenton-le-Pont
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Michel Berreur
Le marginal avec Jean-Paul Belmondo
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julienneMimi en compagnie de Rémy Julienne
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Patrice Guilloton, instigateur du projet de conférences données par Michel Berreur, comédien cascadeur ayant tourné avec, notamment,  Jean-Paul Belmondo et Alain Delon.
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SES « POMPES » RACCROCHÉES…
« MIMILE » ATTENDRA AU COIN D’UN BOIS,
CELUI DE VINCENNES POUR ÊTRE PRÉCIS,
UN PAQUET DE SPORTIFS À SON ÉCOUTE
PRÉTS À ALIMENTER L’ARTILLERIE LOURDE DE « POPAUL »
Celui-ci les encourageant,
entre deux séances gratinées sur le tapis,
à prendre le train …
de  Mimoun  Alain, qui  passait  régulièrement  devant  sa  lourde.
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PARMI SES CLIENTES  DE  LA  SALLE  DE  GYM ,
UNE  JEUNE  FEMME  AUX  MUSCLES  BIEN  TREMPÉS  .
MONSIEUR  ÉMILE  ,  L ‘ ÉPOUSERA ,
ET  AVANT  DE  LUI  FAIRE  UN  ENFANT  ,
IL  FERA  DE  NADY  JACKY  ,
LA  PREMIÈRE  LUTTEUSE  D ‘ UNE  BRILLANTE  LIGNÉE  .
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Kiki accompagne Jacqueline Guilloton … 
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Saint-Maurice (Seine), parfums d’hiermaison_georges_guyon_st-maurice

Les informations disséminées sur le Web font de ce média un gigantesque puzzle dont  il serait vain de vouloir assembler les morceaux si les liens permettant de relier utilement entre elles les idées n’existaient pas (on se passerait des liens abusifs des sites malhonnêtes, soit dit en passant). Encore faut-il jouer collectif et ne pas faire de ses pages web ou de son blog un ilot perdu sur lequel le surfeur abordera au hasard d’une navigation aléatoire. Cette remarque concerne aussi les images. Elles font de la toile une incomparable source de documentation mais pas mal éparpillée. Si les remarquables collections de cartes postales que l’on rencontre dans ces voyages virtuels dans l’espace et le temps ont un incontestable parfum de nostalgie pour les vieux amoureux (les nouveaux aussi) des lieux présentés et commentés, elles ne restituent pas le vécu des témoins des scènes qui s’y sont déroulées.
Je me faisais ces réflexions en parcourant dernièrement une rue de Saint-Maurice (Val de Marne) : la rue du Val d’Osne. Cette rue entièrement bordée d’un côté par les parcs des divers établissements hospitaliers qui font la réputation de cette commune, je l’avais déjà évoquée à propos du canal parallèle à la Marne qui la longeait jusqu’aux années 5O. Malgré un bouleversement massif de tout un quartier ancien à flanc de coteau, la ville a conservé une grande partie de son charme de l’époque. Époque pas si lointaine mais un demi-siècle a suffi pour gommer des lambeaux entiers d’un paysage populaire qui m’était familier. Heureusement, les anciens habitants, qui ont maintenant un regard extérieur, peuvent raconter ce qu’ils ont vu et faire revivre ce que montrent aujourd’hui les cartes postales figées. Si des compositeurs contemporains tel un Nicolas Frize se font aussi un devoir de collecter les sons industriels avant qu’ils ne disparaissent, d’autres personnes sensibles  au temps qui passe s’efforcent de faire parler les souvenirs de tous ordres qu’évoquent ces photos muettes.
Il en est ainsi du « cadavre exquis » qu’est aujourd’hui  la maison construite dans le style art nouveau par l’architecte Georges Guyon au 53 de la rue du Val d’Osne. Comme l’auteur du site, qui rappelle la biographie du créateur et donne l’historique précis de son œuvre, on se demande pourquoi celle-ci figure à l’inventaire général du patrimoine culturel. En effet, presque rien de ce qui en faisait l’originalité n’a été conservé, comme le montre la photo suivante.
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Construite en 1903, la maison abrita successivement, semble-t-il, une brasserie et un restaurant mais elle a perdu les caractéristiques architecturales qui la faisaient remarquer depuis le bois de Vincennes proche. Je regrette d’avoir été trop jeune à l’époque pour photographier les ouvertures cintrées et les magnifiques portes en bois blond vitrées et toutes en courbes dignes de Guimard qui ornaient encore les façades de cette maison art nouveau, bien insolite à mes yeux d’enfant des années 50. Son rez-de-chaussée était alors des plus animés ; Il abritait la salle d’entrainement d’Émile Guilloton, catcheur dont les anciens Mauritiens se souviennent très bien.
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Je ne connais la carrière du catcheur, qui fut d’abord lutteur, qu’à travers ce que j’en ai lu récemment sur le Web mais après les années de ring, Emile Guilloton avait ouvert cette salle pour initier les jeunes à son art et aux divers autres sports de combat. Les enfants de l’école du « plateau » voisine (rue Eugène Delacroix) faisaient souvent le détour avant de rentrer chez eux et regardaient avec ravissement les sauts périlleux qui ponctuaient les entrainements, la porte étant toujours ouverte ; les odeurs de sueur pouvaient ainsi s’échapper… Je me souviens d’un petit homme trapu, au verbe haut et à la voix enrouée. Je crois même qu’Il avait de petites lunettes de myope…Je n’ai jamais  fait partie des élèves malgré mon envie ; je portais aussi et déjà des verres à l’époque…

Le Web ne restitue pas encore les parfums,  mais il n’est pas impossible que je revienne faire une ou deux promenades virtuelles en ce coin de banlieue pour tenter d’en rappeler quelques autres. Ils étaient divers car les activités économiques de cette petite ville à deux pas de Paris et qui avait conservé quelques traces d’une ancienne ruralité se partageaient entre le commerce (un grossiste en vins notamment) et la petite industrie. Le crottin du cheval du chiffonnier itinérant ou celui de la roulotte de livraisons du Postillon servait encore aux amateurs pour fumer leur jardin…Activités qu’on voyait encore à la fin du 19e siècle dans les quartiers de Paris limitrophes des banlieues au sud et à l’est mais qui ont reculé toujours plus loin ou disparu avec l’urbanisation et les changements de mode de vie. Je ferai donc de nouvelles incursions dans ces parages, pour tenter de dresser une manière de parcours sentimental et olfactif de ces lieux chargés de beaucoup de souvenirs.

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  PATRICE MIMILE GUILLOTON
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LA BONNE ADRESSE de Marc CAMOLETTI au Théâtre de Saint-Maurice
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Capture statuePatrice Guilloton a coulé… euh… coulé en bronze…

LA P… RESPECTUEUSE de Jean-Paul SARTRE au Théâtre de Charenton
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CAT ON A HOT TIN ROOF de Tennesse WILLIAMS au théâtre de Charenton 
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Patrice Guilloton n’a besoin de personne…   moto1…en Fazer…

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Qui ose prétendre ne pas posséder sa part d’ombre ? …

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Persona / Dichotomie
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locataire
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cooper
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adjani
laura
passion
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carrie
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Certainement pas lui :
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LOL !!! …

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 Ted Bundy – Etats-Unis
Bundy est un des tueurs en série les plus connus. Charismatique et manipulateur, il fut décrit comme un sociopathe sadique qui éprouvait le plus grand plaisir à infliger de la douleur et à contrôler ses victimes, avant et après leur mort. Il est responsable d’au moins une trentaine d’homicides entre 1974 et 1978 (beaucoup plus selon lui), des jeunes femmes qu’il violait avant de les tuer, souvent en les battant à mort. Intelligent, Bundy a menti et manipulé journalistes et avocats tout au long de son incarcération. Il finira par avouer certains crimes, peu de temps avant son exécution.
Le plus : Ted se livrait parfois à la nécrophilie et ramenait lui aussi des petits souvenirs chez lui (généralement des têtes décapitées).
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 On dit souvent qu’il faut sauver les apparences. Moi je dis qu’il faut les assassiner car c’est le seul moyen d’être sauvé.

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Patrice Guilloton en compagnie du spécialiste des serial killers mondialement reconnu, Stéphane Bourgoin (photo prise au Salon du Livre du Barreau de Paris).
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L’apparence n’est rien ; c’est au fond du cœur qu’est la plaie.

Endorphins Power

(ou comment Monsieur Bundy aurait pu « apprivoiser » Thanatos via le sport à l’instar du personnage ci-dessous)

Démontrer que par le biais de l’Emotion, de la Sensation, de l’Action, du Sport, de la Dépense Physique, l’être humain peut accéder à une Dimension de Sérénité proche de l’état de Grâce par la libération des molécules du Bonheur : les Endorphines ! (Spiritualité Naturelle).
Bien-être, euphorie, sentiment de plénitude, voilà ce que finit par ressentir le sportif, pourvu qu’il ait du courage ! Ce n’est, en effet, qu’au bout d’une demi-heure d’un effort physique soutenu, lorsque les muscles souffrent, que le cerveau libère quantité d’Endorphines. L’action de ces peptides est comparable à celle que reproduit artificiellement la morphine : en se fixant sur des récepteurs cellulaires spécifiques, ils bloquent la transmission des signaux douloureux. Les sports les plus « endorphinogènes » sont les sports d’endurance, jogging, vélo, natation, ski de fond…
Une demi-heure à trois quarts d’heure après l’arrêt de l’effort, le taux d’Endorphines est encore cinq fois supérieur à la valeur mesurée au repos, et le seuil de la douleur demeure élevé quatre heures après leur sécrétion. Rapidement détruite par les enzymes, cette « drogue naturelle » n’entraîne aucune dépendance, elle n’est que psychologique contrairement à la morphine, qui désensibilise les neurones et crée une dépendance physique.
Une série d’études montrent que la douleur de la séparation affective est très rapidement calmée avec les mêmes substances que celles qui calment le mieux la douleur physique : les dérivés du pavot (morphine, héroïne) ou leur version originale que sont les Endorphines (la « morphine endogène », sécrétée par notre cerveau lui-même). Aussi, peut-on s’interroger : et si les toxicomanes dépendants de ce type de drogues tentaient simplement de calmer la douleur causée par un sentiment d’exclusion, qui les accompagne depuis l’enfance ?
Les Endorphines sont des substances naturelles que notre corps produit pendant l’effort physique et après une sensation de bien-être, presque euphorique, se fait ressentir. Elles ont un effet très puissant dans notre cerveau puisque ce sont elles qui maîtrisent la douleur. En effet, ce sont des substances opiacées naturelles ! On ne peut comprendre le pouvoir des Endorphines que si l’on compare leur effet à celui des médicaments puissants telle que la cocaïne ou la morphine. Pour stimuler nos neurones, des substances doivent se fixer dans des récepteurs spécifiques. Si la morphine ou d’autres substances sont capables d’y adhérer, c’est parce qu’elles ressemblent aux substances naturelles du cerveau. L’existence de ces hypothétiques substances cérébrales a été détectée depuis quelques années, elles ont été appelées « Endorphines » (pour leurs effets comparables à celles d’une morphine endogène). Donc, par principe, la dépendance peut également se produire : bien que cela semble incroyable, nous pouvons devenir accros d’une substance que nous produisons nous-mêmes ! Epoustouflant !
Le premier effet d’une bonne séance de Running, c’est une sensation agréable de bien-être. Celle-ci survient pendant l’activité et se prolonge même après la séance ! Cette sensation est due à la production d’Endorphines, un groupe de neurotransmetteurs dont la stucture est très proche de la morphine et qui constitue un puissant antidouleur. Grâce aux Endorphines, on peut donc continuer à courir et à fournir un effort tout en ressentant du plaisir, voire de l’euphorie ! Lorsque l’on court, le corps secrète des Endorphines au bout de quelques minutes seulement. L’avantage, c’est que cette sécrétion ne s’arrête pas lorsqu’on s’arrête de courir ! En effet, la sécrétion des Endorphines continue jusqu’à atteindre un pic, entre 45 et 1 heure après l’effort. A la suite d’une course, on se sent donc mieux, et pendant longtemps !
Nés pour bouger
L’euphorie du sportif vient nous rappeler que la physiologie humaine est parfaitement adaptée à l’activité physique et que la sédentarité actuelle des sociétés modernes est réellement un phénomène anormal. D’innombrables études ont clairement montré que l’exercice physique régulier diminue de façon extraordinaire le risque de mortalité prématurée, conséquence de ses effets bénéfiques sur la prévention des maladies du cœur, du diabète de type 2, de certains types de cancer et même de plusieurs pathologies du système nerveux comme la dépression, l’anxiété et même le déclin cognitif. Pour vivre longtemps en bonne santé, ne laissez pas l’hiver vous priver des des effets fabuleux apportés par l’exercice !
En résumé, lorsque vous vous sentez stressé, angoissé, que des pensées, voire même des pulsions destructrices s’emparent de votre « Âme »,  bougez-vous l’cul ! N’hésitez surtout pas à investir dans une paires de chaussures de Running, vous obtiendrez des sensations extrêmes et tout çà sans aucun effet négatif sur le corps, bien au contraire, la sensation de bien-être qui en découle vous donnera une vision globale de l’existence beaucoup plus sereine et vous évitera de prendre des décisions importantes sur un coup de tête.

Well, Let’s Go Running ! 

mick_jogger Alors, faites comme  Sir Mick Jogger… euh… Jagger !


9 RÉFLEXIONS SUR “GUILLOTONFRAGMENTS

  1. Au fait dans la rubrique Gore, je me rappelle d’un Japonais qui avait dévoré sa ou ses victimes et ensuite qui était « tranquillement » rentré chez lui pour éditer son histoire !!
    Salut l’affreux
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    1. Ravi que ça vous plaise, Anne-Gaëlle, Je vous invite à le visionner de temps en temps car je le développe à intervalles réguliers, et de faire de la « pub » autour de vous, d’autant plus que vous enseignez dans cet endroit sélect où mon père enseignait et s’entraînait. Dans les archives de l’INSEP (anciennement INS), peut-être quelques traces subsistent…
      See You Later…
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  2. Cher PATRICE
    Je t’écrit ce message car en 2017 tu organise un truc pour notre MICHEL national tu sait comment j’y suis attaché si je peut être utile hésite pas et je pense que la salle des fêtes est au coin de la rue de Paris et des bordeaux j’ai habité juste derrière au 43 rue des bordeaux c’était une usine de peinture. Alors surtout n’hésite pas j’en suis très ému en te faisant ce message. Reçoit toute mon amitié
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    1. En tout cas, je pense faire le maximum pour la promo de l’Artiste… Espérons que les fruits récoltés seront à la hauteur !
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    1. Merci Christelle. Toutefois, je précise qu’en haut à droite de la page d’accueil, il y a des icônes sur lesquelles il faut cliquer. A savoir « Photos », « -18 » (Qui pourrait intéresser Stéphane), « Notes », « Vidéos ». Comptant développer ce support, je t’invite à y retourner à intervalles réguliers, notamment « -18 » que je complète souvent, selon l’inspiration.
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