Ouvert à tous , il y a juste à se souvenir.....et a l ' écrire....
Presque tout est permis.... même les fôtes d ' ortographe
Dans l'immédiat , et pour répondre à la demande de certaines personnes n'étant pas membres d' A.L.P.R.A , nous survolons , en parcourant quelques pages de la "revue maison" " ROUND " décrit de façon artisanale , un siècle de Lutte , permettant de comprendre pourquoi les meilleurs FRANCAIS , et beaucoup d'autres , on dû sortir leur croûte en devenant Lutteurs Professionnels .
c ' est le rôle du magasin aux souvenirs d ' ALPRA , ce qui explique cette avalanche de documents . Avant que ceux qui l ' ont vécu , ne soient tous disparus
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8 heures du matin , gare de lyon . Direction Genève ou mon copain et moi on doit lutter '' les blousons noirs '' Plus que 5 minutes et le dur va partir............et on voit arriver , avec son sac de plage et ses pompes à l ' intérieur . Ou tu vas René ? Ben , y a un type qui s ' appelle Durand et qui tout affolé m ' a demandé si je pouvais être là dans 50 minutes... et voilà . 22 plombes à G ' nève..........jamais vu ça . Quand je lui ai passé le relais , pas de quartier........les blousons saignaient comme des boeufs , l ' arbitre était allé sur son cu et moi ? Ben , il m ' a retourné le pouce en me passant le relais . J ' ai perdu 2 dates en 15 jours . ( chez les '' pros '' on a eu du pot.........Durand ne l ' à jamais rappelé ) Je persiste et je saigne ( pardon , je signe )
c ' est le rôle du magasin aux souvenirs d ' ALPRA , ce qui explique cette avalanche de documents . Avant que ceux qui l ' ont vécu , ne soient tous disparus
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A mes amis "Bob" Plantin et Christian Joly.Comme promis, une anecdote que j'ai vécue, et qui fait partie des " contes du Nord " .A Roubaix, ma ville natale, vivaient 2 frères qui étaient de véritables forces de la nature ! Les frères GILMANT étaient d'une force herculéenne hors du commun !..Tous deux travaillaient pour une minoterie, et déchargeaient des camions les sacs de farine pour les boulangeries. Le plus jeune déchargeait 2 sacs au coup qu'il prenait sous les bras. L'ainé s'était fabriqué un porte faix qui lui permettait de décharger 3 sacs au coup (un sur le porte faix dorsal, et un sous chaque bras, comme son frère...Payé " au sac ", tous deux ne travaillaient que le matin, gagnant tout autant que leurs collègues qui travaillaient plus tard !....Parmi les " Hommes forts ", il y avait aussi les "Forts des Halles " !..Les " viandiers " qui livraient les quartiers de boeuf des abattoirs de Roubaix aux bouchers. Une fois l'an avait lieu, entre ces deux professions, un " Défi des costauds ".Ce " Défi " consistait à transporter 12 sacs lestés de sable, le plus vite possible, entre deux tables distantes de 25 mètres....Chaque "camp" désignait son " champion ",qui s'affrontaient ensuite !...Lors de l'un de ces défi, je fis partie des gamins chargés de lester les sacs avec le sable. Les sacs étaient ensuite pesés et mis sur table " départ ".Espiègle, nous avions décidé de jouer un tour de " pendards " à nos champions. ( le mot Pendard, à l'époque, signifiait " qui mérite d'être pendu !..", autrement dit canaille ! ).Nous savions que la coutume voulait, avant qu'ils ne s'affrontent, que les champions s'abreuvent de quelques pintes de notre bonne bière du Nord !.Profitant de l'absence de surveillance des sacs ( nous avions préparé notre " coup " à l'avance ! ) nous avons rajouté furtivement, dans quelques sacs, des morceaux de fonte provenant de plaques d'égoûts cassées Mais voilà, lors du " tirage au sort " des sacs, ceux qui étaient " sur lestés " furent attribués à l'aîné des GILMANT !..Le concours fût néanmoins remporté par ce dernier !..A l'issue de ce concours, ignorant de la charge additionnelle, il déclara : " je me fais vieux, cela m'a été plus pénible que les années précédentes ! ".....Oui, mais voila ! au " vidage des sacs " la supercherie a été découverte, ainsi que ses auteurs !...Nous n'en menions pas large !..D'autant que nous fûmes " invités " à présenter nos excuses au colosse GILMANT Aîné !;;;Nous nous attendions à nous prendre un " pied au cul " magistral !..Beau joueur, Monsieur GILMANT nous remercia d'avoir ainsi pût battre un nouveau record, et nous invita à prendre un " bock de bière " ( verre à anse courant dans le Nord pour boire une bière blonde, de même que le " calice " pour la bière Brune ! ),, " donc de boire un " pot " avec lui, disais- je !...Ouf ! on s'en est tiré à bon compte ( et avec une bonne cuite, une " biture " comme on dit chez nous ! )....Mémorable souvenir !....Un parmi tant d'autres !....que je vous conterai bientôt !....
André Daveau
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Merci à Phis LIONS , qui a retrouvé ce bout de reportage 60 ans plus tard ça mérite un commentaire : Nous sommes en 1959 et je termine ma troisième et dernière année chez les Pompiers de Paris .
Cirque d ' hiver , mini reportage à la télé , avant le match vedette qui oppose un lutteur Ecossais à je ne me souviens plus qui .
Caserne Chaligny Boulevard Diderot , à 3 kilomètres du cirque d ' hiver............
Mes copains de garde , sont devant le téléviseur en noir et blanc . En voyant leur pote prendre la pâtée , le feu leur monte aux joues...........
Et c ' est ainsi que 9 ans après l ' accident de Lino Ventura , sur ce même ring , on verra débarquer 4 minutes après dans le vestiaire , avec le brancard de service 3 pompiers solidaires , à cette époque bénie ou '' la pompe '' était accueillie partout avec respect et sympathie ............. au vingtième siècle
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Terminé les barraques de lutte,c,est du passé et pourtant il y a un livre écrire à ce sujet. Une historiette me revient à l,esprit c,était en 1979 à la fete des loges, le 15 aout. Avant l,ouverture, Jckson forme les équipes,parade et hommes du bas..les barrons..Un mec arrive avec son sac,1m90, plus de 100 kg. Il a le crane rasé il est vétu d,un débardeur,Il a des gros bras tatoués..Marche ou crève,ni dieu ni maitre,Paulette pour la vie et autour du cou,des petits traits ou il est écrit "Boureau suivez les pointillés .Il demande à Jackson s,il peut l,embaucher pour la journée.Il est heureux le patron.Il lui demande ses références et s,il sait lutter." 15ans de légion et spécialiste de close combat" qu,il répond le mec.Tu sais faire quoi exactement qu,il demande Jacson.." tout.Avec ma main droite j,attrape les rostons du mironton, il se baisse je lui fais une fourchette aux yeux,je lui prends les oreilles et lui balance un coup de tete entre le pif et le menton de façon à lui casser le pif et les ratiches"..Un tendre.. pas de doute.Jackson est satisfait, il le prend et le nomme Tarras Boulba.Il y a un os, personne ne veut lutter avec Tarras.Les mecs se défilent, ils regardent ailleurs.Sauf un.Je ne dirais pas son nom mais pour la beauté du geste je vais l,appeller Campistron, lutteur pro et ancien lutteur de libre et gréco.Jackson lui demande s,il accepte.Campistron répond qu,un lutteur ne se dégonfle pas. Tarras se désabille. sur la fesse gauche est tatoué" Entrée interdite" Sur la droite"Sans invitation"; Un sacré poete le mec..Le combat commence,Taras gesticule dans tous les sens il n,a pas de garde. Campistron qui est un vieux renard voit la faille mais comme tous les lutteurs savent qu,avec ce genre de mec il ne faut pas lutter à la régulière..D,entrée Campistron lui balance trois manchettes l,attrape par la tete et lui fait la "Strngler Lewis" prise mortelle si elle est appuyée.Tarras est sur le cul tandis que Campistron sort de la barraque en pensant au prochain tour se disant que ça ne va pas etre marrant de se farcir ce Cosaque d,operette toute la journée.Prochaine séance..Parade, musique, Grosse caisse,tambour..Zim zim Bang Bang. Taras a disparu ,il s,est fait la malle sans se faire casquer. De toute façon il n,aurait pas été payé. Jackson n,aime pas les déserteurs
André Daveau
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Tom Emberton
Les matchs de catch français vintage semblent être de la vraie lutte sans scénario . Les vrais hommes luttent réellement !!!!
salut bob j'esperes que vous allez bien je te suis que des souvenirs pour l'enfant que j'etais voir mon oncle avec toi combattre. la salle d'entrainement je vais te raconter une histoire que j'ai entendu toute mon enfance j'avais 4 ans mon oncle m'a emmener a l'entrainement avec lui la première fois que je suis monter sur un ring vous avez joué toute l’après midi avec moi je me suis endormi dans son taxi et pendant 24 h j'ai dormi mes parents ont fait venir le toubib qui a dit il est juste fatigué laissé le dormir je me rappel de la salle d'entrainement, des bouffes délirantes dans le jardin de mon oncle a morangis prends de toi et de ta famille bises Jean Luc AUBRIOT
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Merci à Phis LIONS , qui a retrouvé ce bout de reportage 60 ans plus tard ça mérite un commentaire : Nous sommes en 1959 et je termine ma troisième et dernière année chez les Pompiers de Paris .
Cirque d ' hiver , mini reportage à la télé , avant le match vedette qui oppose un lutteur Ecossais à je ne me souviens plus qui .
Caserne Chaligny Boulevard Diderot , à 3 kilomètres du cirque d ' hiver............
Mes copains de garde , sont devant le téléviseur en noir et blanc . En voyant leur pote prendre la pâtée , le feu leur monte aux joues...........
Et c ' est ainsi que 9 ans après l ' accident de Lino Ventura , sur ce même ring , on verra débarquer 4 minutes après dans le vestiaire , avec le brancard de service 3 pompiers solidaires , à cette époque bénie ou '' la pompe '' était accueillie partout avec respect et sympathie ............. au vingtième siècle
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Terminé les barraques de lutte,c,est du passé et pourtant il y a un livre écrire à ce sujet. Une historiette me revient à l,esprit c,était en 1979 à la fete des loges, le 15 aout. Avant l,ouverture, Jckson forme les équipes,parade et hommes du bas..les barrons..Un mec arrive avec son sac,1m90, plus de 100 kg. Il a le crane rasé il est vétu d,un débardeur,Il a des gros bras tatoués..Marche ou crève,ni dieu ni maitre,Paulette pour la vie et autour du cou,des petits traits ou il est écrit "Boureau suivez les pointillés .Il demande à Jackson s,il peut l,embaucher pour la journée.Il est heureux le patron.Il lui demande ses références et s,il sait lutter." 15ans de légion et spécialiste de close combat" qu,il répond le mec.Tu sais faire quoi exactement qu,il demande Jacson.." tout.Avec ma main droite j,attrape les rostons du mironton, il se baisse je lui fais une fourchette aux yeux,je lui prends les oreilles et lui balance un coup de tete entre le pif et le menton de façon à lui casser le pif et les ratiches"..Un tendre.. pas de doute.Jackson est satisfait, il le prend et le nomme Tarras Boulba.Il y a un os, personne ne veut lutter avec Tarras.Les mecs se défilent, ils regardent ailleurs.Sauf un.Je ne dirais pas son nom mais pour la beauté du geste je vais l,appeller Campistron, lutteur pro et ancien lutteur de libre et gréco.Jackson lui demande s,il accepte.Campistron répond qu,un lutteur ne se dégonfle pas. Tarras se désabille. sur la fesse gauche est tatoué" Entrée interdite" Sur la droite"Sans invitation"; Un sacré poete le mec..Le combat commence,Taras gesticule dans tous les sens il n,a pas de garde. Campistron qui est un vieux renard voit la faille mais comme tous les lutteurs savent qu,avec ce genre de mec il ne faut pas lutter à la régulière..D,entrée Campistron lui balance trois manchettes l,attrape par la tete et lui fait la "Strngler Lewis" prise mortelle si elle est appuyée.Tarras est sur le cul tandis que Campistron sort de la barraque en pensant au prochain tour se disant que ça ne va pas etre marrant de se farcir ce Cosaque d,operette toute la journée.Prochaine séance..Parade, musique, Grosse caisse,tambour..Zim zim Bang Bang. Taras a disparu ,il s,est fait la malle sans se faire casquer. De toute façon il n,aurait pas été payé. Jackson n,aime pas les déserteurs
Merci Gilbert
Perso je n'ai pas fait la baraque... Mais bien connu le trône, pigalle, les loges
Souvent pour te voir, un jour un pote de club en goguette à la foire du Trône à voulu monté... Alors qu 'il n' était pas prévu dans l'équipe "du bas"
Jackson l'a fait monté quand même... Il a tiré contre TESSE, qui finalement a été gentil car il aurait put lui faire une vacherie voir cassé qlq chose..... (monte sans être prévu était à ses risques et périls...) finalement bon lutteur il s'en est bien tiré.... Mais avec le cul à l'air car son falzard du costume du dimanche n'a pas résiste...
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Salut Bob. Suite à l,article " on recherche des cons",ne nous faisont pas de soucis, c,est inépuisable, ce n,est pas comme le dernier des Mohicans, y en à plus. Par contre, il y aura le dernier des alpratiens et personne ne connait son nom. Alpra, magifique organisation crée par nos amis Bob Plantin et Jacques Rouxe me fait penser à une plage à la fin des vacances,tout le monde se tire malgré le soleil. Pour nous, il n,a plus de soleil ou alors ilest bien pale. Ou est l,époque ou nous étions réunis sur le bateau ou ailleurs. Il y a quelques annèes notre pote Grousset nous a invité à Chantilly, je dis invité donc nous n,avons rien casqué. Il y avait du monde. Quelques temps après, Jacqu
es Lageat dit Jakie Corn nous a invité au Balajo pas pour gambiller mais pour tortorer la succulente bouffe du toujours Grousset. Il déboulaient de partout à la Bastoche, y avait de quoi faire des sacrès affiches. Il y avait un hic, nous étions vioques mais quel plaisir de revoir tous ces anciens lutteurs réunis grace à la dévotion et la passion de Bob Plantin, Jacques Rouxel et autres. Alpra dans toute sa splendeur était réunie. Quand je dis toute sa spendeur je suis gentil il y avait des gueules , pas des gueules d,épiciers comme disait le père Lageat. Alpra, c,était ça, Alpra ne sera jamais remplacé car en activite tous ces anciens ont fait réver des momes. " donc mézigo" Au dernier repas, nous étions 14, c,était trise. Chez Bob à Borme Ils étaient 4 . Un jour, il n,en restera qu,un. Bien entendu nous devons tous avoir une pensée pour notre ami Michel Saulnier monument du catch as catch can de la grande époque Amitiés. Gilbert
adieu poulet......
comment oublier , jeune Pompier de Paris que j ' étais les repas au mess de la PP ( Préfecture de Police ) au pied de notre Dame ou Jean Jourlin racontait , avec humour à toute une petite tribu de lutteurs / flics et pompiers des souvenirs....de haut niveau..
En mai 1965 j,ai participé aux derniers championnats de
france militaires à Antibes.Je faisais mon service militaire dans la marine à Cherbourg.Ne voulant pas etre dans une caserne j,ai demandé les commandos. Pas possible, il fallait etre engagé.Le chef m,a repeché et je me suis retrouvé aux commandos Ajax,Lessivage des coursives des chiottes et autres..Heureusement,il y avait la lutte et j,ai participé aux championnats de France militaire de Gréco.Pour moi c,était une joie pour deux raisons, j,allais lutter et découvrir la cote d,Azur..Nous étions logés à la caserne Dugomier et nous faisions les éliminatoires au Fort Carré et les finales au gymnase avec remise desmédailles par henri Deglane. Je me suis retrouvé avec mes potes du BJ,Rocca,Lutzak, Bourgoin mon futur adversaire en fiinale et autres.Rocca qui était un grand lutteur s,est emparé du titre sans probleme..Par contre..Lutzak qui se faisaitappellerRaspoutine dans le catch et la "bete" à Pigalle a eu le désagrément d,avoir le Gendarme Madelaine comme adversaire. il faut noter que le bon pandore était maintes fois vainqueur faute de concurants dans sa catégorie. Ludzak était dix fois meilleurs que le préposé à la marechaussée.."Je vais me le farcir "qu,il me dit..Je lui réponds que ça ne devrait durer longtemps.." je suis allérgique au poulet,ça me reste sur l,estomac"..Début du combat le bon Lutzak attrape le brave madelaine par les oreilles et lui balance un coup de tete dans le pif..Lutzak viré et Madelaine Champion de France.Quant à moi ça s,est bien goupillé grace aux bons conseils de Sauvageot. Les finales se sont déroulées devant un nombreux publique..Grand souvenir Antibes 19
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